[2023-2024] RCS 2-1 Metz | Après match
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innominefripon67 a écrit, le 13/05/2024 12:07 : Je pense que vieira voulait voir cette charnière à deux centraux histoire de voir sur quels hommes il pourrait compter la saison prochaine..et m'étonnerait pas qu'il fasse de même le dernier match avec une charnière Perrin -Sow..
Je ne vois pas d'autres explications...à part évidemment si Perrin est sur le départ..mais je n'ai rien lu ou entendu là dessus pour le moment..
Perrin a quasiment joué toute la saison. Un moment il est logique de faire tourner, surtout quand le maintien est assuré.
De plus Perrin sort quand même de quelques prestations nettement moins abouties, à partir du moment où on part du principe qu'on fait jouer les meilleurs il est logique qu'il sorte aussi, tout comme il est normal qu'il ait été titulaire une grosse partie de la saison en faisant des matchs solides. -
Ca c'est possible c'est difficile a voir sur le ralenti
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je peux te confirmer à 200% que c'est le messin qui renvoie la balle, Emegha le gêne mais il ne touche pas la balle.
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Oui, le but est parfaitement valable, car sur le centre de Guilbert, il n'est pas hors-jeu, et la remise de la tête est purement messine pour une belle passe décisive à Santos.
Sinon, rien à ajouter aux commentaires précédents concernant la compo dégueulasse en U23 sauf Guilbert, qui performe avec 0 tirs cadrés, à la nouvelle purge, la n-ième de la saison, à l'absence totale de construction offensive, d'un gardien de niveau National 2, d'une pépite défensive qui n'en vaut pas le quart du prix acheté, d'un véritable attaquant U23 à Metz qui est lui une vraie pépite, et d'un véritable hold-up sans aucune saveur contre le rival messin. -
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Image exclusive qui représente la fameuse "cassure" entre les supporters et l'équipe
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Un truc étonnant quand même, le club aurait peut-être pu faire quelque chose pour les partants, genre trophée, ou autre, petit feu d'artifice. Un peu lamentable quand même. On est vraiment devenu un club sans âme. Vive les valeurs du nouveau projet.
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Ils ont eu un bouquet et un maillot avant le match.
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Intéressant parallèle de C. Spreng sur FBA hier soir : il a rappelé la victoire très très heureuse obtenue contre Le Havre en novembre. Le Havre qui avait tiré sur le poteau et loupé des occases en or. Le public avait assisté à une rencontre d'une faiblesse insigne et devait passer d'une extrême frustration à une forme de jubilation, qui ne pouvait être totale eu égard à la médiocrité de la partie.
On a eu la même hier. L'accumulation de cette indigence footballistique depuis des mois rend toute satisfaction assez vaine et j'ajouterais presque indigne pour qui s'est farci le match et a pesté 89 minutes durant.
J'imagine le gamin qui assistait à un de ses premiers matchs et qui s'en souviendra dans quelques temps. "C'était bien quand on a battu Metz hein ? Super match et puis ce scénario ! Strasbourg a bien joué, pas vrai ?"
- "Oui fiston..." -
Dimitri lienard avait un reçu un meilleur accueil de départ.
Tifo, .... -
J'ai beaucoup aimé la séquence du débilomètre d'avant-match animée par Jean-Luc, qui a sans doute servi de maître-étalon au bitonio.
Si j'ai bien tout suivi, il était demandé au public de bramer suffisamment fort pour atteindre les 111 décibels et ainsi battre le record. Le cas échéant, le groupe Hager s'engageait à faire don, par l'entremise de l'inévitable Sabryna, d'un chien d'aveugle à Emegha m'a t-il semblé. Sans doute déductible des impôts (le chien, pas Emegha).
Du coup on gueule tous ensemble comme des cons, la machine bloque à 108 décibels - la perfide ! - mais Jean-Luc décrète que c'est bueno, le record est quand même pulvérisé. On va pas se laisser emmerder à la Meinau ou bien ? Emouvant.
Après je me suis endormi. -
kitl a écrit, le 13/05/2024 18:29 : Intéressant parallèle de C. Spreng sur FBA hier soir : il a rappelé la victoire très très heureuse obtenue contre Le Havre en novembre. Le Havre qui avait tiré sur le poteau et loupé des occases en or. Le public avait assisté à une rencontre d'une faiblesse insigne et devait passer d'une extrême frustration à une forme de jubilation, qui ne pouvait être totale eu égard à la médiocrité de la partie.
On a eu la même hier. L'accumulation de cette indigence footballistique depuis des mois rend toute satisfaction assez vaine et j'ajouterais presque indigne pour qui s'est farci le match et a pesté 89 minutes durant.
J'imagine le gamin qui assistait à un de ses premiers matchs et qui s'en souviendra dans quelques temps. "C'était bien quand on a battu Metz hein ? Super match et puis ce scénario ! Strasbourg a bien joué, pas vrai ?"
- "Oui fiston..."
Pour avoir assisté aux deux, je trouve qu'ils étaient quand même très différents.
Contre Le Havre, j'ai souvenir d'un match âpre, plein de déchet technique, équilibré dans les approximations et le jeu haché de part et d'autre. Aucune équipe ne s'est jamais détachée dans le jeu. La nôtre a mené mais en même temps on se prend un but de Salmier et on concède un poteau et trop d'occasions comme tu le soulignes. On marque vraiment par pure réussite sur un corner à la toute dernière seconde, Le Havre l'aurait "mérité" tout autant. Surtout, le match aurait dû se terminer sur un 1-1 bien pourrave.
Après vérif des stats, Le Havre avait même sensiblement plus la balle que nous.
Contre Metz, on monopolise le ballon les deux mi-temps. On a un jeu propre, mais parce qu'on ne prend aucun risque et qu'on est complètement stérile. On est de bonne volonté mais on a l'impression de vouloir rentrer avec la balle dans le but quitte à ne jamais tirer. Même les défenseurs en position de frappe préfèrent faire un tour sur eux-mêmes plutôt que de lâcher une mine. Metz en profite à donf' pour placer des contres efficaces, via leurs ailiers par volonté, victorieusement par Mikautadze parce qu'on paume une balle bêtement. Derrière, on fait le forcing pour revenir, on s'expose à un nouveau but en contre mais c'est finalement nous qui sommes récompensés. Avec des buts dans le jeu et en prime une belle touche collective sur le premier. Là où c'est cruel pour Metz, c'est qu'ils s'en prennent 2 en 2 minutes alors qu'on n'avait cadré aucune de nos occasions (cela dit seulement 2 tirs cadrés pour eux aussi dont le but)
On finit avec 72% de possession et 90% de passes réussies (cf néanmoins ma remarque sur la stérilité du jeu ...).
J'ai vraiment vécu ces deux matchs différemment. Celui contre Metz de manière beaucoup plus positive, pour moi on a réellement poussé jusqu'au bout. Contre Le Havre on a juste eu le mérite de ne pas lâcher (encore heureux contre un promu à la Meinau), mais j'avais beaucoup plus cette impression que c'était les dieux du foot qui avaient décidé qu'il y aurait finalement un vainqueur au lieu d'un terne et logique match nul. -
En tout cas Nantes et Le Havre se maintiennent lors de cette journée grâce à nous!
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donizzio a écrit, le 13/05/2024 13:05 : Ca c'est possible c'est difficile a voir sur le ralenti
C'est même sur que c'est un Messin qui remet le ballon,.moi même j'ai cru qu'il été hors jeu avant de voir le ralenti et de voir le Messin remettre le ballon sur Santos -
Curieuse soirée contre Metz. En raison de la fin de saison bien sûr, mais pas que, et pour ma part la plus grosse déception est venue du public.
Il a été grossièrement mauvais au moins à deux reprises :
- Un beau retournement de veste (copyrignt Tom) de la part du public Pendant 88 minutes, le mécontentement et les sifflets perlaient en permanence, et 2 minutes plus tard, la Meinau est en transes. Racing über alles ! Deux buts et on passe du gris/noir au rose intense. Dans la vie, c’est le genre d’amis dont on se passe.
- Et ce triste besoin d’humilier les Messins avec ce « Metz en L2 » sur l'air des lampions, à destination de gens qui souffrent certainement déjà de leur possible avenir en L2. Cette L2 que nous fréquentions encore il y a six saisons sans compter le N2 quelques petites saisons avant. Cela peut se reproduire, et pas sur que les Meinauviens le prendraient bien. Mais il est vrai que les ceusses qu’on voyait encourager avec ferveur la descente des Messins, étaient absents des gradins en National.
En fin de match j’avais l’impression – pour la première fois en plusieurs décennies - de ne plus avoir affaire à un public mais à une foule, ce qui n’est pas la même chose.
Changement d'époque et/ou peut-on aller jusqu'à en imputer une part de responsabilité à Blueco ? En tous cas, en rachetant pour son business un objet d'intenses élans passionnels, Blueco a dérangé une manière de vivre le Racing. La nature ayant horreur du vide, il est possible qu'un autre type d'affects s'installe au fil de cette saison et de la prochaine. -
J'aurais aime voire un truc qui résume l'amour vacghe de ce genre d'oppositions symboliques genre "Remontez vite, on aime trop vous battre" mais bon, c'esr ceux qui font les banderoles quie decident. Y'a rien de scandaleux non plus a surjouer l'hostilité dans ce cas precis.
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Ah pardon, ils ne sont pas encore en L2. Ils sont quasiment barragistes, car Lorient devrait gagner et reprendre 10 buts. Beaucoup trop.
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En fait le scénario pour que Metz descende directement est que Metz perd de 4 contre le PSG, et que Lorient gagne de 4 contre Clermont. Pas le plus probable non, mais pas aussi impossible que de remonter 10 buts de goal average.
D’un autre côté ils peuvent se maintenir si Le Havre perd de 6 contre Marseille (qui se bat pour une place européenne ou le goal average compte), et que Metz gagne de 6 contre le PSG. -
Je serais assez content de voir notre meilleur ennemi rester en L1. Même si son école de foot exotique me rappelle davantage les heures sombres des colonies françaises.
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roquettesyntaxe a écrit, le 14/05/2024 00:35 : J'aurais aime voire un truc qui résume l'amour vacghe de ce genre d'oppositions symboliques genre "Remontez vite, on aime trop vous battre" mais bon, c'esr ceux qui font les banderoles quie decident. Y'a rien de scandaleux non plus a surjouer l'hostilité dans ce cas precis.
Tu as raison, cela aurait été un peu plus cool que les "Metz on t'*****e..., Metz en L2...". -
ou "les messins sont des cochons...".
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Tout pareil. Le match était plus que piteux, pas de quoi se vanter, déjà.
Mais bon c'est pas pire qu'à l'OL où l'hostilité envers le voisin vert est très exacerbée. -
Et sans cette fin de match où quelques uns se réveillèrent à quel retour aux vestaires les "héros" ou les zéros du derby eurent ils eu droit?
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J'imagine qu'on saura jamais vu qu'on a gagné le match (?)
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On ne saura jamais. Mais ceux qui ont vécu les 17 matchs à domicile ne sont pas dupes et ont eu peu de bonheur à se mettre sous la dent cette saison.
Par souci de cohérence et de réveil du lendemain, je suis parti à 1-1.
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