La presse régionale et le Racing (DNA - L'Alsace)
Flux RSS 2927 messages · 359.641 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par il-vecchio
-
guiguesPour être complet :
2 personnes perçoivent des honoraires. Ils ne sont pas salariés ni de l'association, ni de personne.
Sitterlé détient la marque RCS Football, sans la marque on se retrouve avec une équipe "blanche" qui évoluerait sous le nom au hasard de Strasbourg 1906. Proisy rulz (+) -
Qui voudrait entrer dans le capital d'une SAS qui n'est nullement lié au club ?
Tant que la SAS ne sera pas liée par convention au club, il n'y aura aucun investisseur, ce qui est parfaitement normal. -
Pourquoi c'est toujours tellement le bronx au Racing?
-
Le bronx, pour l'instant, il est orchestré.
La seule chose qui se passe en ce moment, c'est une négociation entre Sitterlé et l'association sur les montants de la convention. Le reste, c'est de la littérature. -
Soit, mais de la littérature complexe à déchiffrer par moments, alors
-
Il est normal que cette négociation soit serrée. La différence c'est qu'autour du Racing il y a beaucoup de monde & d'attente. A *****, cela se passe dans l'anonymat d'un club de seconde zone. Au Racing, c'est comme si nous étions le Barca. C'est le Racing :)
-
Je suppose que l'investisseur sera le Crédit Mutuel, principal actionnaire des deux titres dont il est question dans ce topic.
-
szczepaniak a écrit, le 2012-01-27 11:16:07 : pur-et-dur68 a écrit, le 2012-01-27 11:06:37 : . On peut d'ailleurs se poser la question pourquoi aucun candidat à l'entrée dans le capital ne s'est encore manifesté.
La question que se pose pas mal de personne ,sauf se qui vénère Sitterlé et qui ont des Oeillères
ou ceux qui ne cherchent pas le mal partout ... je vois pas en quoi la rpéonse de cette question devrait être diamétralement opposé de la même question qu'on se posait au moment de la reprise " pourquoi personne ne veut reprendre le racing à .afar"? ... simplement parce que dans notre belle région, tout le monde à son avis sur le racing et surtout sur la manière dont il faudrait le gérer mais quand il faut mettre des pépettes, y'a plus personne (je parle pas de nous autres povres supporters qui sommes prêts à mettre quelques deniers dans la balance mais qui ne font pas le poids par rapport aux millions pour réatteindre les sommets.) -
En fait, personne n'a repris le club à KAFAR puisqu'il a été mis en liquidation. Il y avait quand même un énorme problème de dettes.
-
Faux ;-)
-
Précision, faux pour l'imb.... euh, pardon, le repreneur. Pas pour le club cribblé de dettes :D
-
Article du 26/01/2012 à 14:00
Racing Club de Strasbourg : Déjà la fin de l'idylle?
photo Frédéric Maigrot / L'A.M.I. (Archives)
On croyait le Racing Club de Strasbourg sur de bons rails depuis quelques mois mais l'évolution récente et l'examen des comptes par la Commission régionale de contrôle des clubs montrent que tout n'est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Frédéric Sitterlé a un rêve. A l'image de ce qu'a fait Dietmar Hopp avec le TSG Hoffenheim ou de ce que projette le producteur de boissons Red Bull au RasenBall Leipzig, il veut ramener un club, le Racing Club de Strasbourg en l'occurrence, des tréfonds du football amateur dans l'élite du football professionnel.
Deux conventions en débat
Dans la banlieue de Sinsheim, le cofondateur de la société SAP a fait monter le TSG 1899 de 7 niveaux avant d'atteindre la Bundesliga et en ex-Allemagne de l'Est, la société autrichienne aux deux taureaux, qui n'a pas le droit de donner son nom au club (d'où le stratagème du RB), a déjà fait gravir un niveau à l'émanation du SV Markranstädt qui évoluait en Oberliga en 2009. Antérieurement intéressé par un rachat, et la situation actuelle donne peut-être le pourquoi de l'échec d'alors, l'entrepreneur originaire de Blodelsheim a finalement abouti après la liquidation du club emblématique alsacien en août 2011. Très vite, Frédéric Sitterlé s'est présenté comme repreneur et a agi comme si le Racing lui appartenait déjà. Annonçant un investissement de 5 millions d'euros étalé sur plusieurs années, il a fait un aller-retour à la présidence de l'association support depuis la rentrée puis amorcé la création d'une société anonyme support (nommée sportive professionnelle, SASP, à tort) qui doit agir à travers un conventionnement avec l'association. Et c'est là que le bât commence à blesser. Car, à côté de la convention avec la future société déjà évoquée, un deuxième accord, avec la holding de Frédéric Sitterlé Blodelsheim Media Venture cette fois, a été mis à la signature du bureau de l'association. Pour l'usage du nom, il prévoit une redevance annuelle indexée sur le niveau, de 150 000 euros en CFA 2 à 1,5 million en Ligue 1. Un péage dans le jargon financier, destiné à survivre à la présence du «repreneur » au club et lui permettant d'effacer sa dépense initiale (150 000 euros) dès la première saison !
Quelle surface financière ?
A la différence de Dietmar Hopp, Frédéric Sitterlé ne ressemble en rien à un mécène et n'investit pas non plus pour la longue durée, comme Red Bull par exemple. Pire même. Ainsi, la récente audition du club par la Commission régionale de contrôle des clubs (une DNCG à petite échelle) a montré qu'il n'a pas encore injecté d'argent dans l'association, contrairement aux annonces. Le club vit donc sur les réserves de cette dernière, soit 727 872 euros à fin juin, et paye aussi ses fournisseurs avec retard. Mieux, Frédéric Sitterlé a fait embaucher deux proches (Mathieu Rabby et Jean-Baptiste Duteurtre à la communication) par la structure alors qu'ils étaient présentés comme bénévoles. Pour le moment, son action s'est par ailleurs limitée à réduire le budget du club à 2,63 millions d'euros (avec 766 000 euros de déficit prévu) et à élargir de six membres le conseil d'administration de l'association. Quelque peu léonines, les conventions ne seront probablement pas signées en l'état et il n'y aura donc pas non plus d'apport en retour pour le moment. Audelà de la complexité du mariage à trois (association, société et holding), au niveau amateur faut-il le rappeler, se pose aussi (à nouveau) la question de la surface financière réelle du repreneur, et de ses motivations.
Joël Hoffstetter
a suivre
-
Source l'AMI HEBDO.
-
Pour rappel, ce topic est là pour parler de la presse régionale. Il y en a suffisamment d'autres pour discuter des repreneurs ou de Frédéric Sitterlé.
-
Mon cher ,L'Ami Hebdo =L'Ami du Peuple se lit en Alsace et en Moselle ( je suis abonné )je sais la majorité qui le lit sont Catholique ,maintenant si ça dérange
-
Et d'ailleurs hier j'ai reçu ce journal par pur promotion dans ma boite aux lettres, un hasard?
-
xeliem67 a écrit, le 2012-01-28 09:46:06 : Et d'ailleurs hier j'ai reçu ce journal par pur promotion dans ma boite aux lettres, un hasard?
Tu vois je t'est pas raconter des conneries ,d'ailleurs si moi je l'ai C'est comme toi je l'est reçu en promo -
Pourtant deux messages au-dessus,tu es abonné...
-
gregrcs a écrit, le 2012-01-28 13:38:22 : Pourtant deux messages au-dessus,tu es abonné...
Bin oui je l'ai eu en promo pendant 3 ou 4 semaines comme j'ai trouvé intéressant je me suis Abonné et voili & voila
Et maintenant je me prépare pour aller a la Meinau ,si par malheur il ne gagne pas je n'y vais plus ,pourquoi bin a chaque fois que je ne pouvais y aller ils ont gagnés 2 x 5- 0 ,alors je dirais que je leurs porte la poisse -
7 montées en dix ans selon l'Alsace pour Belfort Sud / 9 montées en dix ans selon les DNA pour le même club. Y'en a encore un qui s'est planté... Je vous laisse deviner lequel.
-
-
Tiens, aujourd'hui Olivier Picard signe son dernier édito dans les DNA. Curieux. Il n'est pas interdit de penser qu'il ait utilisé la clause de conscience et fasse partie des partants.
-
strohteam a écrit, le 2012-02-16 12:21:34 : http://www.rue89strasbourg.com/
je viens de le voir ce soir.Vrmt pas mal.A confirmer..A noter dans la version strasbourgeoise un commentaire laissé par un célèbre stubiste et occasionnellement DJ dans une excellente émission radio
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
